Passion et chance : deux notions distinctes, mais indissociables
Lorsque je dis aux gens que je vis de ma passion en créant des photophores, certains me répondent invariablement : "Quelle chance tu as !". Si je suis d'accord avec le fait que je suis reconnaissant de pouvoir faire ce que j'aime, j'ai toujours envie de nuancer cette affirmation. Car la chance, bien qu'elle joue un rôle certain, n'est pas le seul ingrédient de cette recette du bonheur professionnel.
La passion : le moteur de mon existence
A la base de tout, il y a ma passion pour la création de photophores en cire. Depuis toujours, j'ai été fasciné par la lumière, par la manière dont elle peut transformer un objet simple en une source de beauté et d'apaisement. C'est cette fascination qui m'a poussé à apprendre les techniques de fabrication, à expérimenter différentes matières et à affiner mon style.
Travail, persévérance et sacrifices
Mais la passion ne suffit pas. Pour transformer ma passion en réalité professionnelle, il faut du travail acharné, de la persévérance voir des sacrifices.
La chance : un coup de pouce, pas une baguette magique
La chance, bien sûr, a joué son rôle. Il y a eu ces rencontres inattendues, ces opportunités qui se sont présentées au bon moment. Mais sans travail ces coups de pouce du destin n'auraient rien pu donner.
La chance se cultive
On dit souvent que la chance sourit aux audacieux. Et je crois qu'il y a du vrai dans cette affirmation. N'avoir pas peur de prendre des risques, de se lancer dans l'inconnu, d'oser croire en ses rêves, c'est augmenter ses chances de succès.
Conclusion
Alors, oui, j'ai la chance de vivre de ma passion. Mais cette chance n'est pas le fruit du hasard. La passion est le moteur, le travail est le carburant et la chance, une simple étincelle.
tune
share
more_vert